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Lors de mon passage à Infoman

Publié le par Sonia Alain

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Au gré des vents 2. Esther

Publié le par Sonia Alain

Par Elisabeth, du blogue Elisabeth et les livres
Le 20 juillet 2022

 

L’amour est-il plus fort que tout ?  Oui, il l’est…

Cette romance historique pleine de rebondissements est un baume pour le cœur.  Elle nous présente des êtres blessés, qui confrontés à leur réalité, ont des choix à faire qui auront une incidence sur le reste de leur existence.  Ça parle de la place de la famille, de l’importance de respecter ses valeurs et de foncer pour avancer, de résilience, d’entraide et de pardon.  On y ajoute une touche de suspense et de l’amour, et cela donne un roman doux par moments, plus durs par d’autres, mais rempli d’émotions du début à la fin.  Encore une fois j’ai pleuré lorsque l’émotion était à son comble.  Je me suis liée rapidement aux personnages, me laissant sensible à leurs parcours et leur évolution.

Guérir d’un traumatisme tels que des actes de guerre n’est pas quelque chose de facile.  Ça demande du temps, et de l’aide.  Abandonner son quotidien pour viser ses rêves demande du courage.  Avoir des gens sur qui compter, ça n’a pas de prix.  Cette histoire m’a touchée.  Tout en nous rappelant plusieurs aspects de ces années de guerre, elle nous dévoile des humains emplis d’humanité, avec tous leurs défauts et toutes leurs qualités.

J’aime Esther et Eliot.  Leur histoire m’a fait du bien.  J’ai bien hâte de connaitre qui seront les héros du prochain tome.  Je croise les doigts pour Nora ou Liam.

Un dernier mot pour la page couverture : WOW !!!

Bonne lecture!

 

Pour les intéressés :

https://www.leslibraires.ca/livres/au-gre-des-vents-t-2-sonia-alain-9782897835910.html

 

Page Facebook de Elisabeth et les livres

 

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La promise du Viking

Publié le par Sonia Alain

Par Chroniques Livresques
Le 1er février 2023

 

Ma chronique

J’ai adoré !

Encore un livre de Sonia qui va rester dans ma mémoire durant quelque temps, une romance historique, mais pas uniquement. Il s'agit d'abord d'une femme, Aasa, une guerrière qui se retrouve embarquée dans une aventure hors du commun. Alors qu'elle vient de voir sa mère mourir sous ses yeux, elle se retrouve enlevée loin des siens. Après avoir réussi à échapper à ces mercenaires sans foi ni loi, elle se retrouve sur une embarcation qui l'éloigne encore plus de chez elle : direction le Groenland ! Un pays non connu, des terres hostiles, le voyage mené par un certain Erik le Rouge qui n'hésite  pas à faire la loi sur le peuple qui l'a suivi. Une femme qui doit cacher ses origines pour ne pas être mise en porte-à-faux, un homme qui doit la prendre sous sa coupe, car Gunnvar est celui qui l'a trouvé sur SON Jarl et l'a ramené avec lui. Vif, curieux et intelligent, cet homme sait qu'elle doit cacher de nombreuses choses et son frère Frodi est bien d'accord avec lui. Elle dégage une assurance et un franc-parler que peu de femmes peuvent avoir. Mais Aasa qui doit ordre sa langue a plusieurs reprises dit se faire toute petite. Ceux qui l'ont enlevé la recherchent toujours. Son oncle aussi la recherche pour la sauver. Mais comment va-t-elle bien pouvoir faire pour réussir à revenir sur ses terres sans abimer son âme ? et son cœur ?

 

Un grand format pour une lecture qui se dévore. Le seul "défaut" du livre, ce sont les pages qui sont très fines, j'ai malheureusement abimé l'une d'entre elles au début du livre, oups. Autrement, l'écriture est toujours aussi belle, fluide et entraînante. L'aventure que nous propose l'auteur reste sur quelques faits historiques (qu'elle a vérifié et modifié quelques dates pour que cela fonctionne, mais elle le dit et le travail est présent) et la découverte d'une terre hostile ou non pour y vivre est toujours un exploit pour cette époque, comme une autre. Lorsque Erik le Rouge propose à plusieurs fermiers de le suivre pour vivre ailleurs, "perdre" leurs fermes, ce qu'ils connaissent pour un rêve, c'est tout simplement un rêve éveillé, certains sont frileux, mais d'autres ont des raisons de voir ailleurs. C'est le cas de Gunnvar et Frodi, deux hommes qui ont besoin de se donner plus de défis, de se séparer d'un membre de la famille pour pouvoir exister comme ils le désirent. Le premier est plus sérieux, plus dur aussi, le second un grand rêveur, pour autant ils se complètent et ne manquent pas de s'entraider. Ce voyage ne sera pas de tout repos : tempête en plus d'une passagère clandestine, tout était là pour qu'ils n'arrivent pas en un seul morceau sur cette terre d'asile. Une passagère qui n'avait rien demandé, se retrouvant à sauver sa vie comme elle le peut et atterrir entre leurs mains.

 

D'autres personnages sont présents, comme l'oncle de Aasa, son meilleur ami Hallvard dont j'aurai adoré savoir sa suite, tout comme pour Frodi (ils leurs arrivent quoi à eux, hein ??? fais les yeux de chat potté pour avoir un ou deux tomes supplémentaires... on ne sait jamais, si cela fonctionne) et puis des sadiques, des femmes, des enfants, des hommes de pouvoir et d'autres qui pensent en avoir du pouvoir mais ne sont rien que des mécréants. La guerre de pouvoir est bien en place, la jalousie aussi et il se peut qu'au sein même d'une famille ce venin s'engouffre si profondément que cela en devient une véritable horreur. Les caractéristiques des personnages principaux sont mis en avant : guerriers, fermiers, combattants, protecteurs (comme tous les hommes créent par Sonia d'ailleurs), mais aussi vicieux, assoiffés de sang ou d'argent. Il suffit d'un rien pour faire exploser un monde, un peuple crée de toutes pièces qui doit faire confiance à un chef qu'ils ne connaissent pas forcément. Et puis j'ai adoré les règles expliquées, leur façon de vivre, leur connaissance, les rites religieux, leurs us et coutumes, leur manière de survivre sur une terre aride par endroit. Chaque personnage a ses gestes, des actes, des mots qui le met dans une position pas toujours idéale. Il faut penser avant d'agir, mais lorsque la vie est menacée, que faire ?

 

Une aventure qui ne s'arrête pas à la rencontre de deux êtres, mais plutôt de différents peuples qui vont apprendre à vivre ensemble, à créer une communauté. C'est toujours un ensemble que l'auteur crée afin de nous donner toujours plus qu'une simple relation. Entre Aasa et Gunnvar, la différence est de taille, pourtant ils ont énormément de points communs : le courage, la franchise (hum, pardon je vais m'étouffer d'un coup), l'envie de protéger, l'épée chevillée au corps. Viking ou guerrière, peu importe, ces deux êtres ont un passif, une vie présente et un avenir incertain. Le rapprochement est inéluctable, mais pas parce qu'ils le désirent : des forces bien plus puissantes qu'eux sont déjà en place et il ne s'agit plus de chercher à s'échapper, mais de rester en vie pour être sauvé. Et ça, c'est toute une histoire qui se met en place. L'auteur nous entraine dans un monde où la place de la femme est encore incertain, où elle ne peut pas réellement choisir sa destinée, sauf quelques rares, comme Aasa ou sa mère, mais à quel prix ? Un choix qu'elles ont faites et ne regrettent pas, mais il faut trouver LE compagnon qui saura les comprendre. Ce qui n'a jamais vraiment été à 'ordre du jour, mais les circonstances parfois nous entrainent au delà de ce que nous désirerions. Un texte bourré de faits historiques, de joutes verbales, de réflexions également. Il est impossible de vraiment prendre parti pour l'un ou l'autre ce ne sont pas tous des brutes épaisses, l'intelligence se voit dans celui qui sait regarder et nous avons quelques spécimens qui ont oublié d'être bêtes.

 

La romance n'est pas ce que j'ai retenu le plus, dans le sens où elle ne s'impose pas. Et c'est ce que j'ai adoré ! Les personnages sont obligés d'évoluer avec l'environnement et les événements qui se déchainent sur eux. Les émotions sont fortes, les événements ne les laissent pas se reposer sur leurs lauriers. Et puis petit à petit, cela s'engouffre doucement en eux, cette envie de protéger l'autre, mais les mensonges sont toujours là, ou plutôt le mensonge par omission qui est encore un grain de sable sur une côté complètement gelée. Les vengeances, les trahisons, les faux sourires, l'envie, la jalousie on y revient encore, chacun d'entre eux va devoir trouver la force en lui ou elle pour réussir à s'en sortir. C'est un univers que j'ai adoré, celui de ces fameux "vikings" avec leur étonnement, leur émerveillement aussi et les combats. La violence des coups portés restes encore ancrés en moi, surtout que l'été dernier j'ai pu découvrir un village en Normandie qui justement avait de nombreux équipements, jarl et autres accessoires de ces temps. C'est encore plus impressionnant quand en plus ayant porté un de ces fameux boucliers, oui ils avaient de la force brut pour les tenir en place et combattre avec ! Les voyages sont nombreux et ne forment pas la jeunesse, mdr, certains sont vraiment un peu trop impulsif et ces hommes qui décident de remplir leur harem devraient véritablement penser à réfléchir avec leurs têtes plutôt que de vouloir récupérer une route imaginaire. Les vilains sont impressionnants et ne changent pas : pas de gentillesse, pas de sentiments, ils tuent comme ils respirent et restent mauvais jusqu'au plus profond de leurs os. Ils sont proches de l'animal, d'un loup ou d'un ours, dommage pour eux que certains savent se servir de leurs armes pour les... exterminer !

 

En conclusion ? Ce n'est pas passé loin du coup de cœur, tout simplement parce que j'aurai adoré avoir plus (surtout au sujet de Hallvard et Frodi, maintenant que je les connais, j'ai envie de voir leur avenir) ! L'histoire de cette guerrière qui arrive à se laisser attendrir au moins quelques secondes est un véritable hommage à toutes les femmes qui doivent se battre pour trouver et prouver leur place dans une société d'hommes. Des faits historiques qui nous propulsent loin dans le temps, avec des termes de ces instants, des us et coutumes un peu (ouf d'ailleurs) oublié. Des hommes de valeurs mis en avant et les sentiments bien sur qui ne peuvent rester dans l'ombre. C'est très lent entre eux et cela me convient parfaitement car le récit s'y prête comme il faut. Je ne peux que vous recommander ce livre !

 

Chroniques Livresques

 

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Magazine Metal'Art, par The Wall, Belgique

Publié le par Sonia Alain

Février 2023

 

Elle est née à Matane au Québec. À l’âge de 12 ans, elle habite pendant quelques mois au Cameroun en Afrique avec ses parents. Elle a obtenu un certificat d’éducation en milieu de garde à l’Université du Québec à Montréal. Certificat en main, elle a été pendant plusieurs années éducatrice dans un Centre de la Petite Enfance, puis chargée de cours au Collège Édouard-Montpetit, et finalement formatrice. Elle est auteure à temps plein, et donne des conférences dans les bibliothèques sur des sujets qui sont en lien avec ses romans. Elle a également été chroniqueuse littéraire.

 

Qui est Sonia Alain ? Je suis une personne très simple, qui a une imagination débordante. Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé lire et écrire. Je suis un peu rêveuse et une inconditionnelle romantique. J’adore voyager, ce qui m’inspire souvent pour mes romans. Je suis très curieuse de nature, et c’est d’ailleurs pour cette raison que j’aime autant faire des recherches dans le cadre de mes histoires. Je suis une fan de films, de séries et de romans. J’écoute également des bandes sonores de films lorsque j’écris. Je suis une personne très sociable, mais qui a également besoin, de temps à autre, de se retrouver au calme chez elle. Je joue beaucoup à des jeux de société avec mon conjoint, j’aime bricoler (artisanat) et faire des Legos. Je suis mère de trois grands enfants et grand-mère également. J’ai une prédilection pour les soupers entre amis ou en famille afin de pouvoir prendre le temps de jaser ensemble.

 

Quel est votre parcours ? Mon parcours est quelque peu atypique. Déjà adolescente, j’écrivais de petites nouvelles pour le plaisir. Par la suite, j’ai commencé à écrire des articles dans certains magazines en lien avec la petite enfance, puis à faire des chroniques littéraires. J’ai publié mon premier roman en 2009. Cela faisait déjà 5 ans que je travaillais sur le manuscrit. À cette époque, j’avais pris le risque d’envoyer mon manuscrit à plusieurs grandes maisons d’édition en me disant que je risquais le tout pour le tout, et j’ai eu raison. Cependant, j’ignorais alors que je deviendrais un jour une auteure à temps plein. J’ai écrit pour différentes maisons d’édition au cours de mon parcours, mais désormais, je travaille principalement avec Les Éditeurs réunis et les Éditions Coup d’œil (pour mes rééditions). Je me considère comme choyée, car j’ai eu la chance de voir trois de mes séries être rééditées par une seconde maison d’édition (Éditions Coup d’œil) ; “Les gardiens des portes”, “D’amour et de haine” et “La dame de Knox”, ce qui a permis de redonner un second souffle à mes histoires. De plus, les droits de mon roman “Le Petit Chaperon rouge” ont été rachetés par les Éditions Contre-Dires en France, ce dont je suis très heureuse aussi, car de cette manière, mon roman est vendu en Europe.

 

Votre bibliographie a des thèmes très diversifiés partant de la série historique au fantastique en passant par l’érotique, la nouvelle ou le noir. Est-ce un choix personnel ou êtes-vous toujours à la recherche du style littéraire qui vous fera le plus vibrer ? J’écris, en effet, dans plusieurs genres littéraires. Il faut savoir qu’à la base, j’écrivais uniquement des romans d’époque et du fantastique, mes deux genres littéraires de prédilection. Ce sont les détours de la vie qui m’ont amené dans les autres genres, ou devrais-je dire, des demandes de différents éditeurs. Pour les romans érotiques, il s’agissait à la base d’une demande de “Les Éditeurs réunis” pour un roman unique “Annabel et Max, adultes consentants”. Il s’est alors avéré que j’aimais aussi écrire dans ce genre littéraire. J’ai donc décidé d’en écrire deux autres. Pour les nouvelles dans les recueils, ce fut à la demande de collègues auteures au Québec et en France. Ce qui n’était pas nécessairement évident, car écrire une petite histoire d’une vingtaine de pages était fort différent d’un roman de plus de 340 pages.

 

Votre dernière sortie “La promise du Viking” traite d’une guerrière qui échappe à des mercenaires qui veulent la capturer pour se venger de son oncle (un chef important du peuple scandinave). Elle se retrouva malgré elle au Groenland où elle devra affronter son destin. D’où vous vient l’inspiration d’une telle histoire ? J’ai toujours eu un attrait pour tout ce qui touche à l’univers des Vikings. D’ailleurs, j’aime beaucoup la série “Viking”. Pour ce qui est de l’idée d’écrire un roman sur ce sujet, il s’agit de l’initiative de “Les Éditeurs réunis”. Ils avaient déjà publié une série en deux tomes (en 2012 et en 2013) que j’avais écrite et qui se déroulait à l’époque du Moyen Âge. C’est ce qui les a incités à m’approcher pour les Vikings. Lorsqu’ils m’ont contacté à ce sujet, j’ai tout de suite accepté. Pour l’histoire de ce roman, j’avais le goût d’explorer la colonisation du Groenland et d’avoir comme personnage féminin une femme guerrière.

 

En 2018, vous avez été l’une des premières à participer à l’aventure des contes interdits avec “Le petit chaperon rouge”. Comment vous êtes-vous retrouvée parmi ces auteurs à réécrire les contes classiques en version thrash et actualisée ? Comptez-vous en réécrire un ? En fait, la maison d’édition avait le goût d’avoir des Contes interdits écrits également par des femmes. Toutefois, le délai pour l’écriture était très serré, c’est pourquoi ils m’ont approché. J’ai hésité au début, car j’étais vraiment très loin de ma zone de confort, et de plus, je ne lisais pas de romans dans ce genre. Autre point qui n’était pas évident, c’était que j’avais uniquement 2 mois pour écrire le roman, ce qui était très court. Il fallait aussi suivre certains paramètres spécifiques et il ne devait pas y avoir de romance dans l’histoire, une première pour moi. J’ai pris 24 heures pour réfléchir à la question et j’ai fait quelques recherches sur le Web pour comprendre quels étaient les symboliques associés à cette histoire. Lorsque j’ai pris ma décision, j’ignorais complètement dans quoi je me lançais. L’écriture ne fut pas toujours facile, car je devais plonger dans un univers très dark. Finalement, j’y suis arrivée et j’ai apprécié l’expérience. J’étais très fière d’avoir réussi à écrire cette histoire en si peu de temps. Il est prévu que j’écrive un dérivé dans “L’Univers des contes” avec l’un des personnages de mon Chaperon rouge. À suivre…

 

Vous avez déclaré faire beaucoup de recherches pour l’écriture de vos romans historiques afin d’intégrer des personnages réels parmi vos personnages fictifs. Com[1]ment procédez-vous pour garder une cohérence en mélangeant le réel et le fictif ? Les personnages principaux de mes romans historiques sont généralement fictifs (à l’exception de deux romans), car cela me permet d’écrire l’histoire que je veux. Toutefois, le contexte est historique et nous retrouvons parfois des personnages réels dans mes histoires. Lorsque j’écris, j’essaie de demeurer le plus fidèle possible aux éléments historiques. Si je dois modifier des dates pour les besoins de mon histoire, je l’indique en note au début du livre. Avant de commencer à écrire, je fais énormément de recherche, ce qui me permet de demeurer cohérente avec les événements réels lorsque j’écris. Je me fais également une ligne du temps pour les événements historiques. Je m’efforce aussi d’écrire en demeurant dans l’esprit de l’époque où se déroule mon roman, de respecter les valeurs, les mentalités, etc. Dans le cas de “Cléopâtre” et “Le bourreau des cœurs”, ce fut un travail beaucoup plus ardu et demandant, car il s’agissait de l’histoire de ces deux personnages historiques. J’ai dû faire énormément de recherche et lire plusieurs biographies sur Cléopâtre et Henri VIII. C’est sans doute ce qui m’a permis de rester le plus fidèle possible aux événements réels.

 

Étant une auteure canadienne, un passage par l› Europe est relativement difficile compte tenu des mesures sanitaires et du coût financier que cela implique. Mais est-il envisageable de vous voir un jour poser le pied sur le vieux continent pour une séance de dédicace ? Cela fait plusieurs années que mes lecteurs/lectrices attendent ma visite en Europe. Il est certain que j’aimerais beaucoup pouvoir me rendre un jour sur le vieux continent pour les rencontrer et participer à des séances de dédicaces. Peut-être qu’un jour je recevrai une invitation officielle d’un Salon du livre ou d’un événement. Je croise les doigts.

 

Vous avez certes sorti récemment un livre, mais êtes vous déjà sur un nouveau projet ? Mon dernier roman vient tout juste de sortir (9 novembre). Il s’agit de “La promise du Viking”. Eh oui ! Malgré cette nouvelle sortie, je m’apprête justement à terminer d’écrire le tome 1 d’une nouvelle série dont l’histoire se déroulera au Québec à une époque reculée. Malheureusement, je ne peux en dire davantage, sinon que cette série sera en deux tomes, et que la sortie du tome 1 est prévue pour mai 2023.Par la suite, il me faudra écrire le tome 2. J’ai également une romance contemporaine avec une petite intrigue policière à écrire pour l’automne 2023. Je verrai par la suite.

 

Je vous remercie pour le temps que vous m’avez accordé. Souhaitez-vous laisser le dernier mot de cette interview ? Écrire a toujours été un rêve pour moi, et je suis très choyée de pouvoir le vivre chaque jour. Surtout, n’hésitez pas à vous accrocher vous aussi à vos rêves ! J’en profite pour remercier les lecteurs/lectrices qui me suivent depuis longtemps dans mon parcours. Sans eux, je ne serais pas là aujourd’hui avec mes romans. Je voulais également vous remercier pour cette interview. C’est très apprécié !

 

Metal'Art

 

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